En suivant l’actualité qui se déroule dans la partie Est de la RDC, je propose que le parlement dans sa rentrée actuelle ; propose et vote rapidement une loi sur le terrorisme. Sinon le pire est à venir. Nous devons définir le terrorisme selon la nature de la terreur causée à nos populations.
Il faut ainsi lutter et décourager très vite la ruée vers l’or en RDC car il y a risque de très vite perdre le contrôle de la situation. Les bandits du monde entier qui se donnent rendez-vous dans nos forêts et y agissent comme en terrain conquis sont à mettre hors d’état de nuire. Notre armée doit être formée pour faire face à cette nouvelle menace qui est déjà dans notre maison, nos populations doivent être protégées.
Trois catégories se définissent :
- Catégorie 1.
Toute personne qui sans autorisation légale se livre à l’exploitation de la terre congolaise sous quelque forme que ce soit et qui se dote des moyens de coercition contre les populations locales. Les complices et compères de ce dernier seront aussi considérés comme terroristes de catégorie 1. Ces personnes sont jugées en flagrance par la cour martiale congolaise et leurs peines sont exécutées sans recours. En cas de recours les peines sont doublées pour les condamnations précédentes.
- Catégorie 2.
Un étranger qui se rend coupable des méfaits reprochés au point un est considéré comme terroriste de catégorie 2. Y est aussi inclus toute personne dont les activités illégales de toute nature entraînent le déplacement forcé, les dégâts environnementaux prévisibles ou la mort des populations. Cette personne sera jugée en flagrance par la cour martiale congolaise appliquant ses règles des temps exceptionnels.
A ce groupe, il faudra ajouter les personnes qui produisent, importent et/ou vendent aux populations des substances illicites toxiques qui entraînent la perte du self-control d’un citoyen.
- Catégorie 3.
Toute personne agissant seule ou en groupe dans le but de semer la terreur au sein de la population pour quelque motif que ce soit. Cette personne sera jugée selon la loi sur le terrorisme.
Alexis A. Mukamba