home Diaspora, RD Congo, Société RDC : Emery Patrice Olengha interpelle Twitter pour la réouverture de son compte @EPOlengha suspendu

RDC : Emery Patrice Olengha interpelle Twitter pour la réouverture de son compte @EPOlengha suspendu

Il passe pour être l’un des « influenceurs » de la twittosphère congolaise avec plus de 60.000 réels abonnés (followers) à travers le monde qui le suivent quotidiennement.

Lui c’est Emery Patrice Olengha (EPO) dit « The Dope » qui utilise sa vraie identité et non un pseudonyme. Il a vu son compte Twitter @EPOlengha temporairement suspendu depuis deux semaines ou plus sans aucune explication plausible de la part de l’administration de Twitter qui fait désormais partie du groupe Facebook.   

Après « trois demande d’explications successives sans aucune réponse»  selon ses dires, ainsi en appelle-t-il publiquement aujourd’hui à la restauration de son compte « injustement suspendu » selon lui via une pétition qui circule sur internet via ce lien : https://www.mesopinions.com/petition/politique/restaurez-compte-twitter-epolengha-injustement-suspendu/73275?signature-list=true

« Ce compte représente beaucoup pour moi ainsi que pour la twittosphère. Je vous remercie infiniment de votre aide. Be abundantly blessed » écrit-il à l’intention des signataires de ladite pétition pour la réouverture de son compte.  

Il faut le rappeler que dans pareilles circonstances, une mesure de suspension d’un compte sur les réseaux sociaux n’intervient qu’après un certain nombre des signalements dudit compte pour des publications contraires à la règlementation.

Malheureusement, il se fait que pour des raisons connues d’eux-mêmes ou des règlements de comptes, des individus s’adonnent à ce « macabre » jeu de signalement des comptes d’autrui afin qu’ils soient fermés. Emery Patrice Olengha (EPO) dit The Dope sera-t-il enfin entendu ?

la question valait bien sa peine, car le compte d’Émery Patrice Olengha a été réactivé par Twitter et avec des excuses en plus comme il l’explique lui-même sur son compte réouvert.

Thaddée Luaba Wa Ba Mabungi et Roger DIKU

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