Le policier présumé tireur à balles réelles sur des manifestants lors de la mobilisation du mouvement citoyen de La LUCHA du lundi 31 juillet 2017 comparait dans une procédure rapide depuis le matin du vendredi 4 août devant un tribunal militaire de Bukavu. On ne connait ni le nom, encore moins le grade du policier.
Si La LUCHA se félicite de cette rapidité, elle insiste sur la responsabilité pénale des supérieurs hiérarchiques (civils comme militaires) qui doivent aussi être questionnée. Et de rappeler que la police avait tiré à balles réelles sur des manifestants pacifiques le 31 juillet 2017, faisant 5 blessés, dont 2 graves.
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